Pauline

Après des études en droit notarial, j’ai rapidement été attirée par le métier de juriste en entreprise, qui permet d’être au cœur d’enjeux concrets, aux côtés des équipes.
Ce qui m’a séduite, c’est la combinaison entre juridique, conseil stratégique et implication dans la vie opérationnelle de l’entreprise.
J’ai intégré SMCP en 2019 comme Juriste Sénior spécialisée en droit des affaires. Trois ans plus tard, j’ai évolué au poste de Responsable Juridique — une belle reconnaissance du travail accompli et de l’engagement que j’ai toujours investi dans mon métier.

À mon sens, un bon responsable juridique doit avant tout faire preuve de rigueur, d’une solide capacité d’analyse juridique — les bases indispensables du métier.
Mais dans le retail, cela ne suffit pas : il faut aussi comprendre les enjeux opérationnels tout en étant curieux et réactif, parler le même langage que les équipes, et proposer des solutions concrètes, adaptées à la réalité du terrain.

Enfin, deux qualités essentielles sont l’écoute et la pédagogie : un bon juriste sait expliquer clairement et accompagner sans freiner l’activité.

Ce qui me plaît avant tout, c’est de ne jamais m’ennuyer ! Dans notre entreprise, les jours et les dossiers s’enchaînent sans jamais se ressembler, et cela grâce à la variété et la richesse des sujets. Il faut jongler avec les priorités, les enjeux, et s’adapter rapidement. J’adore ce rythme effervescent, typique du retail.
La confiance qu’on me témoigne est un vrai moteur : elle me pousse à m’investir pleinement, à traiter chaque dossier et à négocier chaque enjeu comme si l’entreprise était un peu la mienne.
Mais surtout, je travaille avec une équipe fantastique : compétente, bienveillante, soudée et toujours de bonne humeur, où l’entraide est une valeur clé. Cette énergie collective rend chaque journée encore plus motivante, et c’est précieux.

Ce dont je suis fière, c’est d’avoir appris, chez SMCP, à faire preuve d’agilité. Certaines situations exigent d’être un « couteau suisse » : sortir du cadre de ses fonctions, s’adapter vite et trouver des solutions.
Par exemple, la période du Covid-19 a été particulièrement marquante. Tout a dû être repensé en urgence : priorités, modes de travail, relations avec les partenaires.
Je me souviens avoir multiplié les échanges notamment avec nos bailleurs pour construire des solutions concrètes, tandis que la communication interne, portée par un fort esprit d’entraide, était intense. Se serrer les coudes est vite devenu la priorité.
Cette période m’a surtout appris à compter sur la force du collectif.

Bienveillance, dynamisme et confiance.